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Histoire, activité économique

La commune ne compte plus à ce jour aucun commerce. Le dernier a fermé depuis une quarantaine d’années, celui de Mme BOUDIER : épicerie-café .

La principale activité sur le territoire de la commune est l’agriculture avec seulement 3 sièges d’exploitation : productions principales : viande, céréales, poulets. L’une de ces exploitations est spécialisée dans les produits cidricoles.

L’artisanat a été bien représenté, mais à ce jour, nous ne comptons plus que deux activités : un artisan multi-services et un artisan plombier-chauffagiste.

Les salariés, relativement nombreux, ont leur activité sur les bassins d’emploi environnants.

La principale activité de notre commune a toujours été l’agriculture. En 1962, nous comptions 47 exploitations, 38 en 1968, 27 en 1975, 20 en 1979.

Les archives communales nous indiquent une forte activité économique au siècle dernier : en 1886, la commune comptait 51 professionnels (en dehors de l’agriculture) 44 en 1881,52 en 1906 et 14 en 1931.

En 1866, nous notions : 1 aubergiste, 2 cantonniers, 4 charpentiers, 5 couvreurs, 1 prêtre, 2 épiciers, 1 instituteur, 2 maçons, 1 marchand des quatre saisons, 3 maréchaux-ferrants, 3 meuniers, 3 menuisiers, 11 mouleurs, 3 tisserands, 1 taupier, 1 sacristain, 1 plâtrier, 1 tailleur(couturier), 1 tailleur de pierres, 4 militaires.

D’anciennes constructions ou vestiges nous permettent de retrouver trace sur Ste Marguerite d’activités soutenues : fonderie, production de farine, carrière de granit.

Au lieu-dit “le fourneau”, a été établi vers 1540 un haut fourneau, par les

Reconstruit vers 1571, il alimentait en fonte la forge de Carrouges, sise à St Martin l’Aiguillon.

Reconstruit à nouveau vers 1787 avec une halle, restaurée en 1837, il est signalé en ruines lors de sa vente en 1854.

Fonds acquis en 1855 par Jules ROUSSEL, maître de forges, et installation d’une fonderie de seconde fusion équipée d’un bocard à 10 pilons.

Cessation d’activité vers 1870.

Situé au “Moulin de Chandon”, sur l’Udon, en 1809, il produisait quotidiennement 3 quintaux de farine de seigle et orge.

Cessation d’activité vers 1950.

Cette carrière, dont on peut encore voir des vestiges, se situe au lieu-dit “la Vente”.

En dernier, elle était exploitée par Henri DEMENAY. Son fils Jacques, habitant la commune a travaillé avec son père, pour l’exploitation.

Bon nombre de pierres tombales dans le cimetière proviennent de cette carrière.

La stèle, pierre brute, qui se trouve sur la place Jacques LEPASTEUR en provient.

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